lundi 4 avril 2016

DinOjapan- 恐竜博2016 (Exposition dinosaures 2016)

Retour cet après midi au Muséum National de la Nature et des Sciences de Tokyo.





On prend notre temps cette fois ci de faire le tour de l'expo, notre Ichthyovenator laotien y trouve une belle place ! Première reconstitution 3D animée de not' Kiki.


Mini vidéo (Part 1)



Mini vidéo (Part 2)



Le flyer... format A4 :




Mes photos:

Des plantes mésozoïques.


Un des tout premiers dinosaures... Trias moyen ( - 245 Ma environ)


On suit chronologiquement l'évolution des dinos grâce aux exemples présentés.







Pour arriver aux superbes dinosaures à plumes découverts en Chine !










Bambiraptor.
Une sorte de mini vélociraptor... trés éloigné de ceux de Jurassic ParK, isnt' it ?



On revient voir Clive Coy dans son aquarium...




pour apprécier ce bijou !!!



Ouiiiinnn !
On veut le même à Angeac cet été !!!


Tout manucuré !



Un peu plus loin, la grande vitrine spécialement conçue pour exposer Ichthyovenator !
Il leur manque quelques pièces que Ronan Allain et moi même ramenons dans nos valises.
Il ne restera plus qu'à Makoto Manabe à les replacer au bon endroit pour compléter le squelette axial du spinosaure étrange.



En parlant de spinosaure... voici un original de son museau.
Bon c'est pas Ichthyovenator hélas... mais ça a quand même de la gueule !
Faut qu'on retourne à Ban Kalum, non d'un Kiki !



Et zou... encore le Teckel... réalisé un peu n'importe comment.
Les morceaux de spinosaure étant rares, cette reconstitution est plus qu' hypothétique !
Réalisée avec des bouts d'espèces différentes de spinos...
Bon... à suivre, ça aussi. ^^



Deux têtes de Parasaurolophus !
Adulte+bébé



Un trés jeune Protocératops:


Et on ne peut pas s'en empêcher: cliché du pâté de dinosaures ! Si on peut on lui fera faire le tour du monde ! Comme le nain dans Amélie Poulain !




Et oui... le dino ça s'mange !
En pâté... et en biscuits !


A suivre !






1 commentaire:

  1. Y'a pas à dire, ils savent scénariser ces japs !
    Quel beau travail.
    Et que dire de ce lui de Clive Coy. Ca fait rêver et ça force le respect !

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