C'est toujours frimas et compagnie.
Mais la mode du moment c'est
Tenues couvertes. Collection automne/hiver.
A chacun son style.
Euh... et tes bottes, Rachel ?
Quelles bottes ?
Pierre, plus classique et presque propre.
Ravi d'être enfin tombé sur la couche à bois fossile.
Mais ... si on dézoome, que voit-on ?
Un château de sable ?
Un indice: vous pouvez aller voir son jumeau, exposé au musée d'Angoulême.
Oui !!! Une empreinte gigantesque de sauropode.
Enfin... le remplissage d'empreinte comme nous corrige Doumé.
Une fois encore on voit bien les doigts qui se sont enfoncés dans le marécage.
Ce qui explique pourquoi un grand nombre de fossiles sont retrouvés éclatés, en morceaux, sur le terrain.
Et non, adeptes de la terre plate et autres conspirationnistes, il ne s'agit pas d'une sculpture !
On enlève juste ce qui n'est pas induré, tout autour du remplissage d'empreinte, pour dégager l'ichnofossile. Différence de densité du sédiment.
Et tout à coup... petit cri de Léa.
Enfin un truc sympa sous son couteau à huitre. On change de matériel. L'outil de dentiste permet un dégagement au poil.
Poil de cul de Triconodonte bien entendu.
Vous voyez le bout d'machin ?
Là...
Mazette !
Quel croc !
C'est pas notre record... mais on s'y rapproche fortement.
Complète (sans racine of course) jusqu'à son apex légèrement usé.
Ratiche de viandard mésozoïque.
La classe.
A suivre.
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