lundi 9 juin 2025

Angeac-Charente 2025 J-30




J-30 en cette matinée du vendredi 6 juin 2025.
Les préparations du terrain vont maintenant s'accélérer.

Nos menuisiers et bricoleurs bénévoles se sont succédés pour réaliser les nouvelles structures qui seront démontables.










 Des planchers autour de la nouvelle zone de fouilles, un ponton pour accéder aux pompes qui vont devoir vider en permanence le petit étang qui sécurise naturellement les lieux.












Aujourd'hui, donc, c'est le déplacement du cabinet d'aisance, des tartisses, des guoguenots, des cagoinces... enfin des chiottes, quoi.






 Construites il y a quelques années elles n'étaient pas prévues d'être amovibles. 
Elles sont pleines à ras bord.






 Du coprolite en diagénèse pour les anthropopaléontologues (nouvelle discipline de l'après plastique) du turfu. Il nous a donc fallu être ingénieux pour trouver un moyen de les déplacer et ne pas tout recommencer.

Après quelques sueurs froides quand un des tubes métallique s'est cassé en deux et qu'on a évité la mini catastrophe, le deuxième essai fut le bon.


VIDEO:

ANG 2025 J-30 Déplacement des chiottes.



Ouf, ça c'est fait.






La semaine prochaine on continue, c'est qu'il y a encore plein de boulot à réaliser avant l'arrivée de toute l'équipe !



















Des petites nouvelles en photo sur la préparations des fossiles découverts l'an passé ?


Ça travaille dur toute l'année.



Un vrai travail de dentiste !


1 mois de fouilles et 11 de préparation.



Bout de la cage thoracique du nouveau sauropode



Prépa chez Doumé



Bout de côte - new sauropode



Côt 



Côt côt


Côt côt  côt


Divers éléments vertébraux de sauropode


Superbe illion du "new" sauropode





 Il y a tellement de fossiles gigantesques qu'il est nécéssaire de planifier et dispatcher tout le travail







Et à Paris, Renaud Vacant et son équipe s'échinent sur d'énormes vertèbres qui seront rapatriées en Charente une fois préparées.









Et une fois de plus on a frôlé la catastrophe...
Un chêne centenaire est tombé en partie sur un des labos du muséum de Paris où étaient préparées ces vertèbres.
Renaud venait juste de prendre une pause et se trouvait heureusement dehors, à une dizaine de mètres de l'incident.

La paléontologie c'est un métier risqué.










Plus de peur que de mal.
Tout le monde va bien.


...

Allons nous retrouver cet été le reste de notre Grand sauropode ?







D'autres surprises nous attendent peut-être encore sur ce site exceptionnel.


Mais pour ça, il va vous falloir suivre nos prochaines aventures estivales.







À bientôt !









 

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