vendredi 24 avril 2015

Mimo 2... plus qu'une page !


Ouf ouf ouf... Sprint final.



Il faut absolument que ce nouvel album de Mimo sorte avant la sixième campagne de fouilles d'Angeac-Charente !!!

Plus qu'une page, donc... puis les toutes dernières corrections.

Ça devrait le faire. 



Ce sera un album très dense... 64 pages, bien remplies !

Allez zou, j'y r'tourne.


jeudi 9 avril 2015

La baguette de Mimy-Potter

On a retrouvé la baguette de Mimy-Potter ! Une cousine à Mimo...



N'empêche, comme dit Doumé, le Mimo devait avoir bien mal au ventre.
Il s'agit certainement d'une gastralia.


Un nouveau dentaire. Complètement explosé. Mais avec des alvéoles pour les dents.
Croco ?



Du Mimo... encore du mimo...

Un ilion en or !


A suivre...

jeudi 2 avril 2015

Public sénat, spéciale Angoulême !


ITINERAIRE BIS AUJOURD'HUI À 22H55

Angoulême, au-delà de l'image

Rediffusions le :
vendredi 03/04/2015 à 05h00

vendredi 03/04/2015 à 06h45

vendredi 03/04/2015 à 10h00

Durée : 29 minutes
Si la ville d'Angoulême est connue pour son Festival de la bande dessinée qui a lieu chaque année au mois de Janvier, il ne faudrait pas la réduire à cette seule manifestation. La capitale de la BD est aussi le deuxième pôle de l'image en France. Des entreprises, des écoles, toutes orientées vers les images, comme celle créée par d'Andreas KOCH et spécialisée dans l'imagerie en trois dimensions. Personnage atypique et foisonnant, il a créé avec ses associés un tout nouveau système de projection qui plonge le spectateur au coeur de l'image : « Le tumulte », un écran panoramique à 360°, en 3D et interactif.



Cependant, la plus grande curiosité est à chercher du côté du petit musée de la ville. Là, dans les galeries, est exposé un fémur géant de Sauropode, vieux de 130 millions d'années. L'un des 5000 ossements trouvés à quelques kilomètres d'Angoulême, à Angeac-Charente, il y a 5 ans par les équipes du paléontologue Jean-François TOURNEPICHE. Un témoignage rare de la présence en Charente de ces dinosaures géants, paisibles et herbivores, qui mesuraient jusqu'à 40 mètres de long.



Mais venir en Charente sans parler de la reine des charentaises serait une erreur. Au début du 20è siècle, la fabrication de cette pantoufle de laine et de feutre faisait vivre plus de 80 000 personnes dans la région. Aujourd'hui concurrencée par la production chinoise la filière a été contrainte de moderniser la vieille pantoufle de "grand-père" pour en faire un objet de mode. Signe des temps qui changent pour le directeur de la marque Jean-Luc BOURIAU, "la tcha", c'est son nom, se porte à n'importe quelle occasion et se veut chic et moderne.

Enfin, cette découverte atypique de la ville nous emmènera à la rencontre d'une équipe d'enseignants décidée à faire de la lutte contre la "malbouffe" au collège une priorité et le moyen de réunir autour de la même table enfants parents et profs.



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